Tears Of Hope est un artiste SkiZoFrenetiK français de pop-folk et Reggae-rock créé en 2011. Tears Of Hope c'est un auteur/compositeur et un line-up amovible à souhait. Devise: AUCUNE BARRIÈRE musicale. Unique objectif: partager.
L'artiste s'est fait connaitre avec le premier titre "On the ground", les albums "Acoustic Meetings", "Sem'anza" et l'ep "Electric Meetings".
Sommaire
I HISTOIRE
1.1 L'avant-Tears Of Hope (1996–2011)
1.1.1 Cédric Busque
1.1.2 Maxime Benavent
1.2 Formation et débuts (2011–2012)
1.2.1 Cédric et Maryline: le commencement
1.2.2 Enregistrement de "I hope that will pass"
1.2.3 Avec Will Barber
1.2.4 Les premiers concerts
1.2.5 La longue quête pour trouver des musiciens
1.3 "On the ground" (2011)
1.4 "Acoustic Meetings"
1.5 "Electric Meetings"
1.6 Biggz General (Petit-fils de Bob Marley)
1.7 "Pray now"
1.8 SkiZoFoniX production
1.9 Gambeat
1.10 Sem'anza
1.11 L'envers du chapeau
II PRINCIPAUX MEMBRES ET ENREGISTREMENTS
2.1 Membres actuels
2.2 Enregistrements
III DECLARATIONS ET ANECDOTES
IV STYLE MUSICAL/INSPIRATIONS
V DISCOGRAPHIE
VI VIDEOGRAPHIE
VII COMPILATION
VIII REPRISES
I HISTOIRE
1.1 L'avant-Tears Of Hope (1996–2011)
1.1.1 Cédric Busque
Cédric Busque naît le 23 juin 1986 à Narbonne (France). Il grandit dans un milieu modeste à Olonzac, élevé par sa mère, Corinne, et ne connait pas son père. Entouré d’une famille de musiciens :
- L’arrière-grand-père Michel Busque à l’harmonica,
- le grand-père : Alain Busque à l’accordéon,
- l’oncle : Ludovic Busque à la guitare (ou presque) et aux percussions,
- l’autre oncle Yannick Busque au piano,
- un cousin : Kevin Busque à la guitare et batterie
- et un frère : Dylan Busque à la batterie;
Bref tous les hommes de la famille.
En 1996, le père d'un ami, Stéphane Cros, fait connaître à Cédric le groupe Metallica. Le garçon (âgé de 10 ans) apprécie tellement le groupe qu'il se met à acheter tous leurs albums et découper dans du carton des guitares pour se les accrocher au cou et se prendre pour James Hetfield. Quelques mois plus tard, il emprunte la guitare de son oncle Ludovic lorsqu’il a le dos tourné.
A 11 ans, Cédric obtient sa première guitare, une Peavy Raptor, par celui qu'il considère comme son grand-père Jean Barou. Plus le temps passe et plus il tombe dans le monde de la musique en reproduisant d’oreille ses premiers morceaux : "Wherever I May Roam" et "Enter Sandman" du black album de Metallica ou encore l'album Re-load.
Cédric aime déjà découvrir de nouveaux groupes et achète des albums de noms qui lui sont inconnus comme Korn "Issues", Slipknot "Album Eponyme" ou découvre des mythes du rock comme AC/DC avec le live de Donnington ou "Stiff Upper Lip" et Iron Maiden "A Real Live Dead One". L'envie de faire lui-même partie d'un groupe le travaille.
En voyant des groupes locaux qui le fascinent tels que Martos Pikeurs Orchestra, Groovy Shiva, Furaya ou encore Nine Street Arago, l’envie de faire de même devient encore plus forte. Il se lie d'amitié avec Rémi Beteille et Fréderic Rouanet, fans comme lui de ce mouvement pour former le groupe: Six For An Eye (mélange métal fusion à la Limp Bizkit). Cette bonne première expérience lui permet de se faire connaitre du monde de la musique et des concerts, et d’obtenir des contacts dans ce milieu.
D'ailleurs grâce à ses connaissances il rejoint en 2005 un groupe dont il était un fan absolu: Furaya (Fury Hip-hop Hardcore). Un jour, alors qu'il assiste à un concert de Furaya, Jeff Vieu (chanteur du groupe) lui demande s’il ne connait pas de bassiste pour remplacer le leur, Cédric saute sur l'occasion et se propose au poste en prétendant être bassiste ce qui n'est absolument pas le cas. Il doit donc lâcher la guitare pour devenir bassiste. Le soir même il se fait prêter une basse et l'envie est tellement forte qu'en une semaine, il connait tous les morceaux de Furaya. L'expérience dure 7ans pendant lesquels Cédric apprend beaucoup sur le monde de la musique et ses fonctionnements à tous les niveaux avec ses amis Gregory Beyon, Wilfried Chollet (Will Barber), Jeff Vieu, Papaye, Olivier Such, Yohan Lefebvre. Cela lui permet aussi de se forger une bonne expérience scénique puisqu'il a l'occasion de jouer dans de gros festivals sur les routes françaises et italiennes et rencontrer de nombreux groupes (Lofofora, No One Is Innocent, Tagada Jones, Percubaba, MAP, Parabellum, Le Peuple De l'Herbe, Uncommonmenfromars, Troides Priamus Hecuba). Quand arrive le temps du split pour Furaya, arrive aussi pour Cédric le temps de tourner cette page et d'écrire une nouvelle histoire.
1.1.2 Maxime Benavent
Max rejoint Tears Of Hope durant l'été 2011 après que Cédric Busque ait intégré Lee Be Do. Il est surpris d’apprendre que ce dernier n’est pas bassiste mais guitariste.
Maxime, alors très intimidé par son manque d’expérience, par le niveau élevé des autres membres du groupe et son manque de culture reggae (très différent du rock pour un bassiste) relève le défi offert par Cédric qui jamais ne cesse de l’encourager et de le rassurer répétition après répétition et enregistrement après enregistrement pour l'emmener toujours plus haut. Après cinq ans activement au sein de Tears Of Hope, Max prend un repos bien mérité.
1.2 Formation et débuts (2011–2012)
1.2.1 Cédric et Maryline: le commencement
Au début de l’année 2011, Cédric écrit quelques textes et compose des morceaux qu’il pense destinés à rester dans le fond d’un tiroir. En parallèle, il monte un duo de reprises acoustiques principalement de Ben Harper (The Goodfellaz) avec son ami et partenaire de scène depuis maintenant 7ans, Wilfried Chollet (Will Barber). Tous deux sont au chant et aux guitares. De temps en temps, pendant les répétitions, Cédric chante quelques-unes de ses compositions, puis, poussé par les encouragements de Will, il se lance et les joue lors des concerts.
Pendant ce temps, Maryline Lecomte (Malou), 3 ans après sa sortie de la Star Academy en 2008, a pour projet de préparer son album solo. Par le biais d’une amie commune, Nika (qui contribue au 1er album de Tears Of Hope Acoustic Meetings sur les morceaux « We must deal with it » et « Somewhere along the way »), Cédric et Maryline se rencontrent afin d’écrire l’album de Maryline. Finalement c’est Cédric qui l’embarque dans son nouveau projet: Tears Of Hope. Cédric écrit et compose mais n’étant pas très à l’aise avec sa voix, Maryline pose la sienne en duo.
Assez vite ils décident d’enregistrer dans le studio d’un ami, Antoine Rebora (Natis / Kenly & Antoine), et voilà donc le tout premier morceau de Tears Of Hope qui voit le jour : « I hope that will pass ».
Depuis, Maryline Lecomte, quant à elle, enchaine les spectacles de comédie musicale, notamment La Reine des Neiges en attendant d’enregistrer son propre album dans un style mêlant Pink et Superbus.
1.2.2 Enregistrement de « I hope that will pass »
Peu de temps après avoir fondé le groupe et avoir formé un duo avec Maryline Lecomte, Cédric et elle, enregistrent un premier titre acoustique « I hope that will pass » chez Antoine Rebora (Natis / Kenly & Antoine) à Narbonne.
Il est terminé et pré-mixé en une journée mais n’est jamais mixé complètement.
Cette version comprend deux guitares rythmiques, une mélodique et les voix de Cédric et Maryline. Cédric étant gêné par sa voix, celle-ci est sous mixée tandis que celle assurée et pleine de talent de Maryline est mise en avant.
Un deuxième morceau doit être enregistré pour la sortie d’un deux titres pour pouvoir démarcher mais le manque de temps d’Antoine en décide autrement. Donc un seul morceau, pas entièrement mixé, voit le jour.
L’enregistrement se fait entre une chambre et un salon avec uniquement un micro d’ambiance et un mac. Cette façon d’enregistrer devient ensuite une marque de fabrique.
1.2.3 Avec Will Barber
Wilfried Chollet (alias Will Barber) (anciennement bassiste du groupe Stalfish) et Cédric se rencontrent lors des débuts de Furaya dans un style Hip-hop Hardcore aux côtés de Jeff Vieu, Gregory Beyon, Gonzo et Seb (ces deux derniers ne restent pas longtemps, rapidement remplacés par Cédric Busque et Olivier Such lui-même remplacé par Papaye). Après 10 ans d'existence, le groupe split. En 2011, Will et Cédric tournent la page ensemble en prenant un virage à 180 degrés en créant The Goodfellaz (reprise folk en grande partie de Ben Harper). Ils démarrent cette nouvelle aventure en duo et rejoints plus tard par Maxime Benavent et David Cebe du groupe Lee Be Do. Wilfried ne fait plus aujourd’hui partie intégrante de Tears Of Hope mais reste un proche. D’autre part Will participe au premier album acoustique de Tears Of Hope Acoustic Meetings en faisant un featuring sur le morceau « But I keep smiling » avec sa guitare slide.
The Goodfellaz devient une réelle vitrine pour les deux artistes: Will Barber et Tears Of Hope. Le duo partage son set entre les compositions de Will, celles de Tears Of Hope et les meilleures reprises de The Goodfellaz. Le groupe The Goodfellaz fait sa dernière date le 25/10/13 à Gruissan (Phoebus). Will Barber se fait remarquer dans l'émission The Voice avec une reprise de Another brick in the wall et sort son premier EP "Alone" en 2018 dans un style proche de Ben Harper.
1.2.4 Les premiers concerts
Tears Of Hope (au début le duo de Cédric et Maryline) profite des concerts de The Goodfellaz pour faire quelques compos.
Ainsi, le premier concert se déroule le 23 Juin 2011 (jour de l’anniversaire de Cédric) au Charly’s Bar à Saint-Pierre La Mer. Ce jour-là, 4 compositions sont ajoutées aux reprises de The Goodfellaz: « I turn around », « They told me », “We must deal with it » et « I hope that will pass ».
Petit à petit les concerts s’enchainent pour The Goodfellaz et donc pour Tears Of Hope et de plus en plus de nouvelles compositions viennent gonfler le répertoire de The Goodfellaz. Les groupes trouvent quelques contrats dans la région ; ce qui remplit le calendrier jusqu'à la fin de l’année.
Pendant ce temps, Maryline s’éloigne de Tears Of Hope pour se consacrer à un orchestre de bal. Maryline et Cédric gardent tout de même le contact et font d’ailleurs deux featurings sur l’album Acoustic Meetings sur les morceaux : « They told me » et « I hope that will pass ».
L’aventure Tears Of Hope se poursuit donc en duo (Cédric et Will Barber) mélangeant les reprises de Ben Harper, les compos de Cédric (Tears Of Hope), et celles de Will. N’ayant pas assez de compositions pour travailler en solo, les deux artistes réunissent leurs chansons en attendant de pouvoir être indépendants. Ils forment The Goodfellaz.
Durant l’été, Cédric rassemble assez de monde pour l’accompagner dans le projet Tears Of Hope & All The Band (une formation reprenant ses compositions mais avec plusieurs musiciens). Depuis ce jour il existe plusieurs formations toujours aléatoires de Tears Of Hope : acoustique (comme au début), électrique (plus festive), sound system etc... Dans tous les cas le line-up n’est jamais le même selon les besoins et les envies. Les premiers concerts de Tears Of Hope en tant qu’artiste indépendant, arrivent cet hiver-là. Le premier a lieu le 21 septembre 2011 sur le cours Mirabeau à Narbonne pour la journée mondiale de la paix organisé par l’U.N.E.S.C.O. (Une version All The Band sans batterie). Ce jour-là, All The Band est composé de Titouan Billon au piano, Maxime Benavent à la basse, Alexis Bogdanovitch à l’harmonica et au saxo, Mustapha Mahdaoui aux percussions et bien sûr Cédric au chant et à la guitare.
Le second concert estampillé All The Band se déroule au Stade de Narbonne pour l’avant match de rugby Narbonne - Grenoble devant 4000 personnes. Cette fois le set comprend 10 morceaux et un All The Band plus conséquent (8 personnes) avec Clara Gruber et Lisa Rochelle aux chœurs, Wilfried Chollet (Will Barber) à la guitare, David Cebe à la batterie et toujours Titouan au piano, Maxime à la basse, Mustapha aux percussions et Cédric au chant et à la guitare.
Entre temps, Tears of Hope entre en studio pour enregistrer un premier morceau en version All The Band : « On the ground » accompagné d’un clip et d’un making of de 40 minutes.
1.2.5 La longue quête pour trouver des musiciens
Fin d’été 2011, Cédric décide de monter la version All The Band de Tears Of Hope en s’entourant de divers musiciens.
Beaucoup de monde font donc partie du projet, certains passant en coup de vent comme Alexis Bogdanovitch, Wilfried Chollet (Will Barber), Cyrille, Delphine, Lisa Rochelle, Michael Sourd, d’autres restant plus longtemps et faisant vraiment partie de l’histoire Tears Of Hope comme : Titouan Billon (Du Bartas), Mustapha Mahdaoui, Clara Gruber, Jean Louis Kubski (Les Sols Cirés), Emilie Morrier, Mickael Riffaut (Snaf), David Cebe (Jam Rock), Antoine Miquel et Maxime Benavent.
Reste le noyau dur du groupe : Cédric Busque. Il y a, bien sûr, des essais non concluants, et quelques intervenants exceptionnels.
Devant un tel florilège de musiciens qui n’ont pas le temps de continuer l’aventure, de personnes pas sérieuses, de grosses têtes et autres… Tears Of Hope se projette dans un format tout à fait aléatoire et ne cherche plus vraiment de musiciens attitrés mais décide de fonctionner plutôt comme un line-up amovible où viennent se greffer au noyau dur, Cédric, d’autres musiciens selon les besoins sur une période donnée. Cédric accueille avec plaisir tout musicien qui souhaite faire partie de l’expérience mais n’en est pas dépendant. Au gré des arrivées et départs comme ceux de membres importants tels que Michael Riffaut remplacé par Antoine Miquel ou encore David Cebe, Tears of Hope créé en 2015 une version Sound System notamment lors de la tournée Espagnole.
1.3 « On the ground »
Tears Of Hope accompagné de son All The Band entre en studio en Octobre 2011 pour y enregistrer son premier morceau sous cette formation : « On the ground ».
L’enregistrement se fait directement dans leur salle de répétitions à Saint-Nazaire d’Aude avec Samuel Debout (guitariste de Lee Be Do et ingénieur du son de Soundlife).
Pour la petite histoire, Alexis Bogdanovitch, alors saxophoniste du groupe, décide la veille de l’enregistrement de quitter le projet pour plusieurs raisons dont une qui aujourd’hui est anecdotique : il ne sent pas Tears of Hope prêt à enregistrer ce morceau et trouve ridicule et risqué (niveau qualité du son) d’enregistrer dans la salle de répétition délabrée et non pas dans un vrai studio.
A chaque fois que Cédric a le plaisir d’entrer en studio, il n’y a jamais personne pour immortaliser ces souvenirs merveilleux. Cette fois, on ne l’y reprendra pas. Il décide de filmer les 2 jours d’enregistrement pour en garder une trace. Pol (propriétaire du local d’enregistrement) lui présente un ami cameraman, Bernard Losfeld (Kinéole production) qui arrive avec un matériel impressionnant. A cette occasion est réalisé un Making of de 40 minutes et un clip du morceau, tous deux disponibles sur YouTube). Bernard Losfeld sait capter l’ambiance et le fonctionnement de Tears of Hope à la perfection. Ce Making of n’en est pas vraiment un mais présente plutôt Tears of Hope dans sa façon de penser, de faire, de créer. Des moments de réflexion, des moments d’amusement ponctués par des commentaires post expérience.
Samuel enregistre en premier Cédric à la guitare rythmique puis la voix fantôme. La voix fantôme est une piste chant, censée donner des points de repères aux autres musiciens quand vient leur tour. Une voix fantôme est généralement effacée et refaite une fois que tous les instruments sont en place, pour faire une piste plus appliquée. Finalement, aucun chant n’est refait. La piste chant de ce morceau est la piste fantôme faite en une seule prise et non retouchée.
Ensuite, la batterie entre en jeu et David fait ce qu’on appelle un one-shot : il enregistre sa partie en une seule prise. C’est pour cela que David n’est pas présent dans le Making of, le cameraman n’ayant pas eu le temps d’arriver et de s’installer.
De nombreux moments de rigolades et de bonne humeur marquent ces deux jours et sont visibles dans le making of. Parmi ceux-là, les chœurs de Maxime, qui le dit lui-même n’est pas chanteur mais bassiste, donnent des éclats de rire à la troupe. Difficile de chanter, qui plus est en anglais.
De grands moments musicaux aussi, comme la composition des mélodies et solos au piano. Titouan fait une dizaine de solos plus fous les uns que les autres mais Cédric le pousse encore et encore car comme il dit dans le Making of « Je ne pouvais pas me contenter d’une seule prise parce que Titouan à un tel talent (…), je sentais qu’il pouvait faire mieux ».
Clara, toute timide vient illuminer la fin de soirée avec ses chœurs.
Les chœurs de Lisa Rochelle, la 2ème choriste sont enregistrés le lendemain. Pour l’anecdote, un gros problème de placement voix persistant depuis ses débuts pousse Tears of Hope, quelques semaines plus tard, à se séparer d’elle. Sa voix a été retirée de l’enregistrement dans un souci de qualité, mais Lisa apparait néanmoins dans le clip.
Will Barber entre en jeu à la guitare. (Il faut savoir que, à ce moment-là, Will ne connait pas ses gammes et fait tous les solos à l’oreille, là est son point fort car il a un incroyable sens de la musique et du son).
Mustapha Mahdaoui vient conclure aux percussions ces deux jours avec bonne humeur et sagesse. Le plus incroyable est que la veille, Mustapha perd sa maman et malgré ça, il est là pour enregistrer ses prises avec une réelle grandeur d’âme.
Tout l’enregistrement se déroule là où Tears of Hope répète : un atelier de menuiserie dans un grand domaine avec un jardin gigantesque (d’où provient la pochette de l’album Acoustic Meetings) et une rivière qui passe juste à côté… bref, vraiment un endroit très agréable.
1.4 Acoustic Meetings
Acoustic Meetings, le premier album studio (et 1er album acoustique) de Tears Of Hope sort le 5 avril 2012. Il est produit par Samuel Debout (Soundlife) et comporte plusieurs particularités et prises de risques :
Le choix de la langue anglaise d’abord est, pour Cédric, une facilité d’écriture, la peur de trop se dévoiler dans sa langue maternelle et l’opinion que pour écrire en français sans être ridicule il faut avoir un réel talent, ce qu’il ne pense pas avoir. De plus, il est plus facile de s’exporter dans la langue de Shakespeare.
Le choix d’enregistrer la totalité de l’album uniquement voix et guitare sans aucun autre instrument est aussi un gros risque mais Acoustic Meetings n’est à l’origine pas destiné au public. Les morceaux qui le composent sont des compositions écrites depuis longtemps et Cédric veut les enregistrer pour son usage personnel. Une fois l’album en main il se dit qu’il serait égoïste de sa part de le garder au fond d’un tiroir, alors il le partage gratuitement sur le net. Il est en vente sur la boutique du groupe (dans un esprit de soutien).
Volontairement, on ne retrouve pas le travail perfectionniste que l’on peut entendre sur les morceaux en version All The Band au niveau de la qualité du son. Pour les albums acoustiques le but est d’avoir un son non travaillé et de donner l’impression à l’auditeur que Tears of Hope est dans son salon pour une soirée entre amis sans aucune prétention ni préparation. D’ailleurs, les prises sons, guitares et voix de Cédric sont enregistrées à Montpellier, dans l’appartement de Samuel Debout, au milieu du salon, entre un canapé et un ordinateur. La grammaire anglaise n’est pas respectée à la lettre sur certains textes mais encore une fois cela fait partie du concept Acoustic Meetings : seule l’émotion est importante. (L’équipe Soundlife, Samuel Debout et Morgan Dufour, veillent tout de même à la correction des textes).
Un des autres concepts de l’album et non des moindres est que chaque morceau soit en featuring. La première raison de ce choix est tout simplement l’échange car encore une fois, la musique pour Tears Of Hope, se partage sans aucune prétention. La deuxième est qu’à ce moment-là, Cédric se lance au chant, et, timide de nature, il n’ose tout simplement pas chanter en lead. La troisième c’est qu’il rêve de collaborer avec certains artistes dont Nika qui chante sur les morceaux : « We must deal with it » et « Somewhere along the way ». Nika et Cédric se rencontrent pendant la période Furaya où Nika fait de temps en temps la première partie du groupe de hip-hop hardcore. Cédric a tout de suite admiré le courage de la jeune femme qui ouvre pour le groupe en jouant de la pop-folk seule sur scène avec sa guitare et sa voix envoûtante face à un parterre de punks et métalleux en tous genres qui attendent l’arrivée de Furaya. Cédric a immédiatement envie de travailler avec elle et le projet se réalise quelques années plus tard grâce à Acoustic Meetings.
Vient aussi le temps des retrouvailles avec Maryline Lecomte qui a fait partie de Tears Of Hope dans ses débuts. Ensemble ils enregistrent « They told me » et font le mastering du tout premier morceau « I hope that will pass ».
Pour « I turn around », le featuring doit être réalisé avec une chanteuse dont Cédric fait la connaissance quelques années auparavant: Fany (Moon On The Groove). Mais elle ne peut faire le déplacement. A la veille de l’enregistrement Cédric n’a toujours pas trouvé de featuring et décide qu’il ne figurera pas sur l’album. C’est sans compter sur le destin qui met Amanda Arnaud sur sa route au détour d’une boulangerie. Il la connait depuis très longtemps mais la croit toujours à Paris en tant que chanteuse de Cabaret. Revenue pour quelques jours, Cédric lui propose de l’accompagner pour ce morceau.
Pour « Poison Me », Cédric fait appel à Marine Moreno, chanteuse du groupe Lee Be Do dont Max, David et l’ingénieur du son Samuel font également partie (Cédric lui aussi a fait partie un temps très court de ce groupe). Oui, tout est une histoire de famille (ou presque) entre Tears Of Hope, The Goodfellaz, Furaya et Lee Be Do.
Cédric compose deux interludes originalement nommées « Tears » et « Hope » pour créer une certaine ambiance tout au long de l’album. Le niveau importe peu, le plus important pour lui étant l’émotion. De plus l’interlude « Tears » termine la partie triste tandis que « Hope » clôture la partie plus joyeuse et l’album.
« …And the world keeps turning » (interlude plus long) est en featuring avec Colin Vauthier chanteur du groupe Montpelliérain Civil War. Il existe aussi un clip de ce morceau réalisé par Sébastien Mermoz. Il est rare de voir un clip pour un interlude mais Cédric veut mettre en image un de ses textes préférés qui sinon serait passé inaperçu en raison de sa version anglaise. Ce titre dresse un constat ou plutôt un état des lieux du monde dans lequel nous vivons. Un thème dont Cédric s’inspire souvent. On peut y entendre les mots de Severn Cullis Suzuki pendant son discours à l’ONU ou encore le discours de Georges W. Bush lorsqu’il s’adresse au monde entier en direct d’une école juste après les attentats du 11 septembre. Un clip mêlant images insoutenables, violences, dictateurs ou tueurs en tous genres, catastrophes et bêtise humaine.
Sur « Feel The Tears Of Hope » le featuring n’est pas vocal mais instrumental. Samuel Debout, producteur et ingénieur son de l’album, nous régale de son jeu de guitare hallucinant et de ses goûts d’arrangeur.
Sur « But I Keep Smiling », là encore le featuring est instrumental et Cédric fait appel à son ami Wilfried Chollet (Will Barber) et sa guitare lap-steel. Will sur le premier album Tears Of Hope : une évidence. Comme le dit Cédric, sans Will, Tears Of Hope n’aurait peut-être pas existé.
« In This Train » est le seul morceau où il n’y a pas réellement de featuring. Kiko, chanteur Narbonnais, doit normalement y chanter en français (une première pour Tears Of Hope), mais il tombe malade le jour de l’enregistrement. On y entend tout de même Amanda Arnaud (featuring sur « I Turn Around ») fredonner sur le refrain.
Clara Gruber, à ce moment-là choriste de Tears Of Hope, réalise avec brio le featuring sur le dernier morceau de l’album « I Have Hope ».
La photo de la pochette est prise dans l’immense jardin de la salle de répétitions par Maxime (Bassiste).
1.5 Electric meetings
Electric meetings est le premier ep (7 titres) de Tears of hope qui est pressé. Il sort le 30 Mai 2014 ; à l'occasion un concert est donné à la garenne à Mirepeïsset.
L'ep est composé de tous les morceaux sortis en single depuis 2011 comme On the ground, Tired to be crushed, Pray now mais aussi de 4 nouveaux titres inédits comme My vision, If you were a smile, My alarm clock et It's the only solution (Bleed me).
Réunissant donc tous les line-up de Tears of hope comme Cédric Busque (Chant/Guitare), Maxime Benavent (Basse), David Cebe (Batterie), Michael Riffaut (Guitare), Emilie Morrier (Chœurs) mais aussi tous les anciens membres comme Florian Cattin (Percussions), Mustapha Mahdaoui (Percussions), Titouan Billon (Piano), Clara Gruber (Chœurs), Wilfried Chollet (Guitare) ainsi que quelques featurings comme HK Hokum et On-X (Pray now), ou encore Quentin Albert (Trompette) et le Freeband sur It's the only solution (Bleed me).
Cet ep est donc enregistré sur plusieurs années avec à la production, Samuel Debout de Soundlife pour On the ground, Tired to be crushed et It's the only solution (Bleed me), Nicolas Barbet de Squat record muzik pour Pray now et SkiZoFoniX Production pour My vision, If you were a smile et My alarm clock. Le mastering est effectué par Overload studio et le pressage en République Tchèque.
L'ep est en vente sur les concerts, le site du groupe ainsi que les plateformes Deezer, Spotify, Google Play, ITunes etc.
Les thèmes abordés
My vision, parle d'un rêve, un rêve de paix et de fraternité.
Sur If you were a smile, Cédric parle d'une rupture amoureuse vécu et plus globalement d'un manque de sourire de la société.
My alarm clock évoque la fin d'un rêve, le réveil matin qui sonne et où il se retrouve plongé dans un monde dans lequel il ne se reconnait pas.
It's the only solution (Bleed me) évoque le suicide comme seul solution, la mort n'étant pas une fin mais plutôt le début de quelque chose de meilleur pour le compositeur.
Dans Pray now, il est question de prière, peut-être pas au sens propre du terme mais en tout cas la seule chose qui nous reste à faire pour ce monde qui tombe en lambeau et notre fatalité à regarder ce spectacle.
On the ground traite le thème de la pauvreté et du seul remède que Tears of hope peu apporter: oublier le temps d'une danse.
Sur Tired to be crushed, c'est le mal être de l'auteur dans une société oppressante qui est abordé mais aussi un beau message de fraternité.
Une des particularités de cet ep c'est qu'il existe un clip pour chaque morceaux excepté My vision et It's the only solution (Bleed me).
L'artwork est réalisé par Céline Farges.
1.6 Biggz General (Petit fils de Bob Marley)
Tears Of Hope est aussi le groupe officiel de la tournée française 2013 de Biggz General, le petit-fils de Bob Marley. Tears Of Hope s’occupe des premières parties ainsi que l’instrumental de Biggz sur scène.
1.7 Pray now
Ce morceau est composé par Cédric bien avant le début de Tears Of Hope. A l’époque beat-maker du R.A.R. Crew, l’instrumental est destiné au groupe de rap. Quelques années plus tard, restée inutilisée, Cédric écrit des paroles puis le morceau tombe encore dans l’oubli jusqu’au jour où il fait la rencontre de On-X (alors petit-ami de Missy, ex-manager du groupe). Après quelques discussions Cédric lui propose de ressortir la chanson du tiroir. On-X écrit son couplet.
Cédric contacte HK Hokum avec qui il a déjà travaillé et dont le premier E.P sort peu de temps après. Ce dernier accepte le featuring avec joie. La semaine suivante le morceau est enregistré à Montséret dans le studio de Squat Record Muzik. Ce qui donne aussi l’occasion de rencontrer Nicolas (Sarkouz1) qui améliore le son en remplaçant quelques basses par des basses plus lourdes et qui ajoute quelques effets sonores.
Concernant le clip c’est une longue aventure semée d’embuches. Tears Of Hope essaye 4 réalisateurs avant de trouver le bon : Oreil. Le clip doit être joué par une actrice mais par manque de temps, Tears Of Hope se retrouve à moins d’une semaine de la sortie du clip sans réalisateur. Cédric et Maxime, alors acteurs dans la série « L’Indésirable Actu », croisent Oreil lors d’une rencontre cinématographique. Celui-ci se propose pour ce travail mais 3 jours après il se blesse gravement remettant en cause le tournage. Finalement Oreil décide d’utiliser quelques rushs inutilisés de l’un de ses courts-métrages pour réaliser le clip Pray Now. Plus tard, ce morceau sortira sur l'ep "Electric meetings" en mai 2014.
1.8 SkiZoFoniX production
SkiZoFoniX Production est créé en 2014 avec pour but la promotion de groupes de musique (enregistrement, mixage et graphisme).
SKIZOFONIX c'est:
- l’aide à la création, au développement, à l’enregistrement musical, à la promotion et à la production en public de groupes de musique dans le département de l’Aude, la région Languedoc Roussillon, ainsi qu’au niveau national et international.
- l’aide à l’acquisition des moyens techniques et vestimentaires nécessaires à la composition musicale et à la prestation scénique des groupes de musique.
- l’aide à la diffusion des groupes (Emissions télévisées, radios, presses, affichages etc…)
- l’aide à l’organisation et à la négociation de concerts ou à la participation des groupes musicaux et à toutes les activités musicales ou en rapport avec la musique.
- l’aide à la gestion financière des groupes musicaux.
- l’aide au management des groupes musicaux.
- Les membres musiciens, compositeurs et/ou interprètes, chanteurs de l’association « SKIZOFONIX PROD » peuvent se produire en public, (concerts, animations musicales et dans diverses manifestations festives) en effectuant des formations entre eux de musiciens et chanteurs autres que celle des groupes auxquels ils appartiennent. Ces formations musicales sont adaptées à l’événement où ils se produiront. http://skizofonixproducti.wix.com/skizofonix
1.9 Gambeat
La rencontre avec Gambeat (Bassiste de Manu Chao) se fait pendant l’été 2013. Lors d’un repas chez lui, rendez-vous est pris pour enregistrer le prochain album de Tears of Hope: « Sem’anza » l’année d’après. Gambeat devient, pour cet album, le producteur et directeur artistique de Tears of hope. Ils travaillent ensemble en résidence à Narbonne en automne 2014 pour préparer l’album qui est enregistré Octobre/Novembre 2014 à Barcelone dans le studio La Panchita dirigé par Gérard Casajùs (Percussionniste de Manu Chao Radio Bemba et batteur de la Kinky beat).
1.10 Sem'anza
Sem'anza est le deuxième album de Tears of hope. Et cet album est produit par Gambeat (bassiste de la Ventura, groupe accompagnant Manu Chao).
Enregistré le 26 Octobre 2014 à Barcelone au studio La Panchita par Gerard Casajùs (ex Radio Bemba et La Kinky beat), il sort le 03 Octobre 2015. A l'occasion un concert est donné au club le DB à Narbonne avec Les Sols cirés et le groupe espagnol Amaika.
L'album est composé de douze morceaux dont 9 nouveau titres inédits figure sur cet album comme Je survole la vie, La ronde de la vie, L'indifférence, I shout to the moon, Get up, War blood shots death & crys, October day, The man without a soul et A little bit of. 3 chansons se trouvait sur le premier album Acoustic meetings et qui ont été revisité pour l'occasion avec des sonorités totalement différente, comme I turn around, I hope that will pass et Feel the Tears of hope.
Le line-up de Tears of hope pour cet album se compose de Cédric Busque (Chant/Guitare), Maxime Benavent (Basse), David Cebe (Batterie), Michael Riffaut (Guitare). On retrouve également sur quelques morceaux la voix en chœurs du producteur Gambeat, les percussions de Gerard Casajùs, quelques cuivres de Josep Blanes mais aussi la participation vocale des frères Léo et Kachafaz (Chanteurs de Che Sudaka) sur le morceau "War, blood, shots, death & crys".
Le mastering est effectué par Yves Roussel.
Les thèmes abordés
Je survole la vie, parle d'une relation amoureuse qui n'arrive pas se projeter et règles tout soucis et évite les sujets houleux par le sexe.
Sur La ronde de la vie, Cédric parle d'un tout petit homme amoureux d'une grande fille, tellement grande qu'elle ne le voit pas.
L'indifférence évoque le maux le plus répandu de la société. Je ne vois rien, je ne dis rien, je n'entends rien.
I shout to the moon évoque, sujets de prédilection, le "mal-confort" dans la société actuelle, l'envie de s'échapper dans les étoiles, mais aussi la prise de conscience que les choses sont faites ainsi, nul besoin de se résigner, l'obligation de faire face et de le faire avec cœur.
Dans Get up, il est question de différence de point de vue, le chômeur rebelle, le pauvre travailleur, les hauts dirigeants et l'argent qui régit le monde.
War, blood, shots, death & crys traite le thème de la stupidité des guerres, cette envie insatiable de toujours plus au gré de n'importe quoi. Pour ce morceau, Tears of hope est rejoint par les frères Leo et Kachafaz (chanteurs de Che Sudaka).
October day, est un morceau écrit par Maxime Benavent (basse) pour sa fille. Il y explique au travers de la voix de Cédric, son amertume de ne pas avoir de voix pour lui chanter son amour. Au milieu de la chanson, on peut y entendre la voix parler de Max, lisant une lettre à sa fille.
Sur The man without a soul, c'est le mal être qui est abordé. Un homme sans âme. Ni beau ni riche, ne ressentent pas la douleur ni l'amour. Terrifié de ses semblables et qui s'enferme peu a peu dans le mutisme et l'envie de partir.
Sur A little bit of, il est question de toutes les petites choses insignifiantes qui font que le bonheur est un jeu d'enfant.
L'artwork est réalisé par Maxime Benavent.
1.11 L'envers du chapeau
Avec ce nouvel EP qui marque le retour du chapelier, Tears of Hope emporte l'auditeur dans un voyage au cœur de sa fusion.
Un bond dans le fond du chapeau où la magie vient opérer et transporter de titre en titre sur les 1001 facettes de l'artiste.
Par endroit, il se dévoile et laisse apercevoir l'homme derrière le chapeau avec une moitié de titre en français. On y parle tour à tour et pêle-mêle des violences faites aux femmes mais aussi de paternité, d'amour, d'optimisme ou de la vie après la mort.
Tears of Hope comme à son habitude joue avec les contraires, les opposés, les contradictions, la bipolarité, la schizophrénie mais que pouvait-on attendre d'un artiste au nom mélangeant LARMES et ESPOIR ?
II PRINCIPAUX MEMBRES ET ENREGISTREMENTS
2.1 Membres actuels
Cédric Busque, auteur/compositeur/chanteur/guitariste (depuis 2011), fondateur
2.2 Enregistrements (Retrouvez toute la discographie ici)
2011:
Première version de « I hope that will pass » (non masterisé) en tant que première démo du duo
-
Cédric Busque - Guitare rythmique et mélodique, Chant
-
Maryline Lecomte - Chant
2011:
« On the ground » premier morceau en version All The Band
-
Cédric Busque – Chant, Guitare rythmique
-
David Cebe – Batterie
-
Maxime Benavent – Basse et chœurs
-
Titouan Billon – Piano et chœurs
-
Clara Gruber – Chœurs
-
Lisa Rochelle – Chœurs
-
Wilfried Chollet (Will Barber) – Guitare mélodique et solo, Chœurs
-
Mustapha Mahdaoui - Percussions
2012:
Acoustic Meetings
-
Cédric Busque – Chant, guitare rythmique et mélodique
-
Samuel Debout – Guitare mélodique et solo
-
Wilfried Chollet (Will Barber) – Guitare mélodique et solo
-
Nika – Chant
-
Maryline Lecomte – Chant
-
Marine Moreno – Chant
-
Colin Vauthier – Chant
-
Amanda Arnaud – Chant et chœurs
-
Clara Gruber - Chant
2012:
Tired to be crushed
-
Cédric Busque – Chant, guitare rythmique et mélodique
-
David Cebe – Batterie
-
Maxime Benavent - Basse
-
Titouan Billon – Piano
-
Clara Gruber – Chœurs
-
Mustapha Mahdaoui - Percussions
2013:
Pray now
-
Cédric Busque – Chant, guitare rythmique et mélodique
-
On-X – Chant
-
HK Hokum – Chant
2014:
Electric Meetings
-
Cédric Busque – Chant, guitare rythmique et mélodique
-
Maxime Benavent – Basse
-
Wilfried Chollet (Will Barber) – Guitare mélodique et solo
-
Michael Riffaut – Guitare mélodique et solo
-
Emilie Morrier – Chœurs
-
David Cebe – Batterie
-
Florian Cattin – Percussions
-
Mustapha Mahdaoui – Percussions
-
Clara Gruber - Chœurs
-
On-X – Chant
-
HK Hokum – Chant
-
Quentin Albert – Trompette
-
Freeband – Cuivres
-
Titouan Billon – Piano
2015:
Sem'anza
-
Cédric Busque – Chant, guitare rythmique et mélodique
-
Maxime Benavent – Basse
-
Michael Riffaut – Guitare mélodique et solo
-
Emilie Morrier – Chœurs
-
David Cebe – Batterie
-
Gerard Casajùs – Percussions
-
Josep Blanes -- Cuivres
-
Gambeat (Jean-Michel Dercourt) -- Direction artistique
-
Mastering -- Yves Roussel
2022:
L'envers du chapeau
-
Cédric Busque – Chant, guitare, basse, programmation
-
Lisa Drummond – Chant (Petite)
-
Gregory Beyon – Guitare (My way is not yours)
-
Emilie Morrier – Chœurs (Admirable)
-
Maïté Tempez – Choeurs (Ma blonde)
-
Puppa Nadem – Chant (Rise up)
-
Mixage & Mastering -- Cédric Busque
III DECLARATIONS ET ANECDOTES
Les sections « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », « Citations », etc.
-
Sur le morceau « …And the world keeps turning » il est prévu de conclure par un bref passage d’un chant de noël : « Carol of the bells » mais suite à un oubli de dernière minute on ne le retrouve pas sur la version finale. Cédric pensait le faire enregistrer par les élèves de son ancien collège Antoine Faure à Olonzac. Cependant, on peut retrouver un clin d’œil à ce morceau sur la fin de la chanson « My alarm clock » enregistré en 2014.
-
Sur l’album Acoustic Meetings sont prévus deux morceaux de plus : « I return at home » qui n’a finalement pas été sélectionné car il ne rentre pas dans les critères de l’acoustique car on y trouve de la basse, de la batterie et une distorsion sur la guitare (il n’a d’ailleurs jamais été joué depuis). L’autre, « Be there for you », n’est à ce moment-là pas au point. Ce dernier reste pour le moment dans un tiroir.
-
En même temps que « Tired to be crushed » il est prévu de sortir un autre morceau dans la version All The Band: « It’s the only solution (Bleed me) » mais ce morceau nécessitant une section cuivres, le groupe fait appel au Freeband de Rennes mais ne peut mixer le tout à temps. Ce titre est présent sur l’ep Electric Meetings sortit en 2014.
IV STYLE MUSICAL, INSPIRATION
Cédric tire nombre de ses influences de Manu Chao (tant l’homme que sa musique). Gentleman, Damian Marley font aussi partie de ses inspirations concernant la partie All The Band. Pour ce qui est de la partie acoustique, les influences sont plus tournées vers Angus & Julia Stone, Cocoon ou Mathieu Chedid. Avec l'EP "L'envers du chapeau", Cédric puise encore ailleurs, tantôt Stromae ou Caballero & Jean Jass, Five finger death punch, Gaetan Roussel, Jahneration ou encore Johnny Cash. Aucune barrière.
V DISCOGRAPHIE
Albums studio
* 2012: Acoustic Meetings
* 2015: Sem'anza
EP
* 2014: Electric Meetings
* 2022: L'envers du chapeau
Single
* 2011: I hope that will pass
* 2011: On the ground
* 2012: Tired to be crushed
* 2012: ... And the world keeps turning
* 2013: Pray now
* 2014: My alarm clock
* 2014: If you were a smile
* 2015: Je survole la vie
* 2016: I shout to the moon
* 2017: Violent world
* 2017: No time to play
* 2017: What's going on ?
* 2018: What's going on ? (feat. La Pegatina et feat. El Chamuyo)
* 2021: I'm waiting for death
* 2022: My way is not yours
VI VIDEOGRAPHIE
-
Making of de « On the ground », documentaire sur le groupe vu de l’intérieur pendant l’enregistrement. Fonctionnement, anecdotes …
-
Clip « On the ground » (réalisé par Bernard Losfeld).
-
Clip « Tired to be crushed » (réalisé par Maxime Benavent).
-
Clip « … And the world keeps turning » (réalisé par Sébastien Mermoz).
-
Clip : « Pray now » (réalisé par Oreil).
-
Clip : « My alarm clock » (réalisé par Cédric Busque et Maxime Benavent).
-
Clip : « If you were a smile » (réalisé par Maxime Benavent).
-
Clip : « Je survole la vie » (réalisé par Cédric Busque et Maxime Benavent).
-
Clip : « I shout to the moon » (réalisé par Maxime Benavent).
-
Clip : « Violent world » (réalisé par Messa).
-
Clip : « No time to play » (réalisé par Double King Production).
-
Clip : « I'm waiting for death » (réalisé par VSM Production).
-
Clip : « My way is not yours » (réalisé par SkiZoFoniX Production).
-
Ainsi que des dizaines de mini vidéos sur la Chaine YouTube
-
Retrouvez également les vidéos des interviews, lives, clips et bien d'autres ici
VII COMPILATION
-
« Tired to be crushed » présent sur la compilation Broken Balls.
-
« Je survole la vie » présent sur la compilation Rockola vol.4.
-
« I shout to the moon » présent sur la compilation Rockola vol.6.
VIII REPRISES
-
"Private Lawns" de Angus et Julia Stone
-
Clip : « Etre un homme comme vous» par We Rock Disney (réalisé par Angel).